Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Citroen Type b14 G, voiture routière de 1928
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La Citroen Type B 14G, cette automobile de collection fut produite de 1926 à 1928, cette Citroen mesure 1.41 m de large, 4 m de long, et a un empattement de 2.87 m, des freins à tambours, cinq places, grand succès plus de 100 000 fabriquées.
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La B14 Tout Acier est présentée au Salon d'octobre 1926. Elle représente un progrès technique décisif par rapport à la B12. Le châssis est allégé, le moteur est plus souple et le frein au pied agit maintenant sur les quatre roues.
Au Salon 1927 apparaît le modèle B14G dont la silhouette a été affinée. Une familiale complète la gamme. Les caractéristiques techniques, moteur à 4 cylindres en ligne, 1 539 centimètres cubes avec alésage - course de 70x100 millimètres donnant 22 chevaux réels à 2 300 tours par minute. Les soupapes sont latérales et le refroidissement à eau sans pompe. Allumage à avance fixe par magnéto ou voltex et batterie 6 V-60 Ah. Boîte à 3 vitesses non synchronisées et freins à tambour à commande mécanique avec servo, B14F et B14G. Vitesse maxi 80 km/H.
Ce modèle rencontra un assez grand succès compte tenu de son prix compétitif par rapport à la concurrence 22 600 francs pour la berline ou la conduite intérieure demi-luxe.
En mars 1927, la B14 devient la B14F avec des freins assistés par servo Westinghouse. La vitesse de pointe atteint 80 kilomètres par heure. La gamme de carrosserie est étendue puisque le catalogue de l'époque propose, la torpédo 4 portes ouvertes avec capote en versions série, luxe et commerciale, la conduite intérieure 4 portes, 6 glaces et malle arrière en série, demi-luxe et luxe, la berline 4 portes, 4 glaces et malle arrière en série et demi-luxe, la familiale 4 portes, 6 glaces et malle arrière en luxe, le coach 2 portes, 4 places en série et luxe, le cabriolet 2 portes, 2, 3 ou 4 places en capotable ou non décapotable ou faux cabriolet, le coupé de ville, le taxi en conduite intérieure, landaulet et conduite intérieure landaulet et la normande utilitaire ouvert.
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Citroen ", France 1919 - ....
André Citroën, fondateur de l’entreprise automobile qui porte son nom, naquit à Paris, le 5 février 1878. Elève de l’Ecole Polytechnique.
A la fin du premier conflit mondial, en 1918, André Citroën se trouva amené comme tous les industriels de l’époque, à reconvertir son entreprise, jusqu’alors utilisée pour les fournitures militaires.
En effet, Citroën possédait quai de Javel, une énorme usine capable de produire 50 000 projectiles d’artillerie par jour, alors que les autres industriels atteignaient difficilement les 5 000 pièces.
1919, profitant du dynamisme de la paix et de l'économie bondissante d'après-guerre, Citroën se lance dans un secteur qui ne demande qu'à être exploité : le transport et tout particulièrement l'automobile.
Au cours d'un voyage en 1912, il a observé l'organisation du travail dans les usines Ford et veut utiliser les mêmes méthodes.
Comme pour les obus, il passe d'une fabrication artisanale à une production industrielle de masse, la 7 CV est commercialisée. Son objectif de vente était 100 voitures par an.
En 1921 la très populaire 5 CV fut surnommée " petite Citron ", parce qu'elle était peinte en jaune, puis " Trèfle " à cause de ses trois places.
En 1922 Citroën sort la B2 Normande pour le monde rural, cette même année, les Torpédos une, deux et trois places sont lancées, plus communément appelées C, C2, C3.
Citroën inaugura la vente à crédit., après avoir fondé des compagnies de taxis et couvert la France d'un réseau d'autocars.
En 1923 les usines Citroën fabriquent 200 voitures par jour, en 1925 les Types B10, B12 et B14 sont commercialisés.
En 1928 à Paris, Citroën ouvre le plus grand magasin d'automobile du monde. La cadence atteint en 1929 100 000 voitures par an.
En 1932 les nouvelles C4 et C6 sont munies du " moteur flottant " plus silencieux. La cadence qui avait atteint plus de 100 000 voitures en 1929 tombe à 48 000 , à cause de la crise économique.
En 1934 la Traction ou la 7 CV présente beaucoup d'innovations. Cette voiture révolutionnaire fut conçue par André Lefebvre et Gabriel Voisin.
Mais finalement en 1935, André Citroën dépose le bilan. Il remet ses actions à Michelin, qui l'avait précédemment aidé et se retire. Il meurt quelques mois plus tard et peu après, les banques débloquent un premier crédit.
Après la mort subite de Pierre Michelin en 1937, Pierre Boulanger reprend l'affaire en main et lance le projet " tout petit véhicule ", auquel André Citroën avait déjà pensé. Et en 1948 la 2CV est présenté au Salon.
Vingt années après l'introduction de la Traction avant, Citroën étonna de nouveau le monde de l'automobile en présentant au Salon de Paris de 1955 l'incomparable «DS19».
En 1956 avait été présentée une version simplifiée, l'« ID 19 ». Les suspensions étaient toujours de type hydropneumatique, mais avec des freins et une direction non assistés, boîte de vitesses à commande manuelle, carrosserie plus spartiate, à laquelle fut ajoutée, en 1958, la version break.
A la fin desannées 50, la gamme Citroën présentait un vide. Entre la 2 cv et la DS 19, il n'y avait pas d'autres modèles, en avril 1961, ce vide fut partiellement comblé avec l'apparition de l'Ami 6.
A cette voiture fut ajoutée la « DS 21 », qui atteignait 175 km/h et destinée à une clientèle aux exigences particulières de luxe et de confort.
En juillet 1965, Citroën assuma le contrôle total de Panhard et Levassor. Les années suivantes, l'« ID19 » reçut un moteur à cinq paliers, fournissant 83 ch qui lui permettait d'atteindre 160 km/h.
C'est en 1967, que naît la « Dyane » (« un monstre de sympathie », comme elle fut définie par la publicité Citroën). Située entre la 2 CV et l'« Ami 6 », elle reprenait de celles-là la conception.
En 1969, Citroën modifia la carrosserie de l'« Ami 6 », la nouvelle voiture fut appelée « Ami 8 ».
Les « D Spécial » et « D Super » remplacèrent l'« ID 19 ». Désormais, était arrivé le moment de lancer la voiture « moyenne » qui manquait dans la gamme de Citroën.
Ainsi naquit, en 1970, la nouvelle « GS », suivie peu après par la prestigieuse «SM ».
Après être passée sous le contrôle de Peugeot en 1974, Citroën présente la LN puis en 1978, la Visa, améliorée en 1982 et 1985.
Lancée en 1986 et restylisée en 1991, la petite AX, qui succède à la LN, sera remplacée en 1995, en 1990 Citroën invente les séries limitées personnalisées " : AX Spot, AX Thalassa, AX Tonic, ...
En 1991 la ZX remporte le Paris-Dakar, en 1992 la Citroën ZX gagne le Paris-Pékin.
Présentée en 1992, la Xantia symbolise le renouveau de Citroën, la XM est élue "voiture de l'année" dès son lancement en 1989.
Enfin, le monospace Evasion présenté en 1994, un clone du Peugeot 806, du Fiat Ulysse et du Lancia Zeta étudiés en collaboration par les quatre marques.
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